Lio puniepour insolence

25 mai 2016

Je suis perchée sur mon pupitre, une cigarette au bec, je parodie « des p'tits culs, des p'tits culs » en imitant Gainsbourg, quand le professeur de maths, Mlle T, entre dans la salle de classe.

Malgré ses demandes d’arrêter et de descendre du pupitre, je continue. Je m'arrête lorsqu’un grand coup de règle vient frapper son bureau. Mlle T, de colère, m’attrape par l'oreille et veut m'emmener chez le directeur pour que je lui explique ce j'ai fait. Je me débats et lui lance énervée : « Lâche-moi pauvre folle ! ».

Je regrette aussitôt ce que je viens de dire, mais c'est trop tard, je reçois une petite claque de la prof, visiblement à bout de nerfs.

Plus vexante que douloureuse cette claque a le mérite de me calmer d'un coup .

La prof m' attrape par l'oreille et me fait sortir de la classe. Je ne veux pas aggraver mon cas et suis en m'excusant et en demandant poliment à Mlle T. de me lâcher.

Elle me répond que c'est trop tard pour s'excuser et continue sans me lâcher l'oreille vers le bâtiment des garçons.

Je n'ose pas lui demander où je vais, dans cette école, les garçons et les filles sont séparés, mais les deux établissements sont collés.

Arrivées devant la porte d'une salle, Mlle T. me dit :

« Je ne veux plus vous voir, vous allez faire un stage chez M. S., vous verrez cela vous changera, de plus je vous préviens tout de suite que je ferai part à M. le directeur de votre insolence ! »

J'avais déjà entendu parler de M. S. qui était réputé très sévère.

Mlle T. ouvre la porte et me pousse dans la classe en me maintenant toujours par l'oreille. Je me retrouve devant une classe d'une trentaine de garçons, rouge de honte je baisse la tête.

M. S. surpris de me voir ici, et de la colère de Mlle T., demande ce ce que j'ai fait.

Mlle T. lui explique avant de quitter la salle. Je n'ose pas relever la tête, encore plus honteuse d'être la seule fille, dans cette salle d'hommes, où tous les yeux convergent vers moi.

« Bon, puisque c'est ainsi, vous allez assister à mon cours. Venez ici Mademoiselle ! »

Je me dirige d'un pas hésitant là ou me dit le prof, dans une allée au premier rang. Je vois toutes les places occupées et demande timidement où puis je m’asseoir.

« Ici, les élèves punis ne s'assoient pas, ils restent debout, sont en slip et mettent les mains sur leurs têtes. Et ce sera pareil pour vous ! » Rouge de honte, lentement j'enlève ma jupe, et pose péniblement mes mains sur ma tête ce qui déclenche l'hilarité des garçons. M. S. d'un geste, calme l'excitation des garçons et le cours peut reprendre presque normalement...

Sauf que les garçons n'arrivent pas vraiment à être attentifs, leurs regards se détournent souvent du tableau vers moi. Et plus particulièrement vers mes jolies fesses moulées dans une culotte blanche légèrement transparente. Je porte un chemisier blanc, qui remonte à cause de mes bras au dessus de ma tête et qui laisse entrevoir une petite partie du bas de mon dos.

Le prof continue son cours, puis donne un exercice à faire. Je dois rester dans la même position pendant ce temps. Les garçons s'appliquent à leur exercice en silence. Jusqu'au moment où l'on entend des pas rapides dans le couloir venir vers la classe, puis la porte s'ouvre brusquement.

Je pâlis mais en même temps un petit sourire apparaît sur mes lèvres quand je vois entrer Mr Maxou, le directeur, clopin clopant, je me doute que c'est pour moi qu'il s'est déplacé jusqu'ici.

J'ai déjà entendu dire que le directeur donne des fessées dans son bureau pour les fautes très graves et j'ai peur qu'il vienne me chercher pour ça. Mr Maxou entre et se met devant moi : « Je ne supporte pas les insolentes, encore moins les clowns et surtout les impolies au sein de mon établissement ! ! !

Melle T. m'a informé de ce qui s'est passé ! Elle a eu raison de vous emmener ici. Cette classe est parfaite pour être punie, et la punition devant tous ces jeunes hommes n'en sera que plus bénéfique ! »

J'ai peur de comprendre, Mr Maxou m' ordonne de monter sur l'estrade. Je suis remplie de crainte et d'interrogations.

« Retournez-vous ! Face au tableau... Et courbez-vous en avant ! Les mains sur vos chevilles... »

Il n'y avait plus de doute, la punition allait être une fessée. L'excitation monte chez les garçons de la classe, aussi vite que la panique monte en moi. Je suis dépitée et supplie le directeur de me punir ailleurs.

« Je ne vous le redirai pas une autre fois ! Retournez-vous et faites ce que je dis ! Et tant pis, malgré votre âge, baissez votre culotte ! » La bruyante réaction des garçons me fait frémir . Aux bord des larmes, je tombe à genoux et implore le directeur de m' épargner ça. Le directeur monte sur l'estrade à côté de moi et me relève, puis me fait faire un demi-tour. « Il fallait y penser avant d'être insolente Mademoiselle ! Baissez votre culotte avant que je vous l'enlève définitivement ! »

Je n'ai pas le choix, j' attrape l’élastique de ma culotte et la baisse jusqu'aux chevilles.

La honte que j' éprouve m’est insupportable. Les élèves découvrent une bonne paire de fesses blanches. Alors que tout le monde croyait qu'il allait débuter la fessée, il s'arrête : « Mademoiselle, si vous n'aviez été qu'insolente, je vous aurais fessée comme ça, mais puisque en plus vous très indisciplinée, la punition devra être plus dure, non ? » Je renouvelle des excuses, mais je suis obligée de dire que je mérite une punition plus sévère. « Très bien puisque vous êtes d'accord, enlevez votre chemisier ! »

Des chuchotements s'élèvent dans la classe, je voudrais me rebeller mais je suis bloquée, honteusement, je déboutonne le 1er bouton et me retourne d'un coup vers le directeur, aucun mot n'arrive à sortir de ma bouche. Le directeur profite de mon désarroi, pour retirer les boutons et enlève mon chemisier qui tombe aussitôt à mes pieds.

Je ramasse mon chemisier et le pose sur une chaise à côté de moi où se trouve déjà la jupe, « Mademoiselle, je ne supporte pas qu'on me désobéisse, et vu votre situation, ne cherchez pas à me mettre encore plus en colère ! »

Je baisse la tête, je me sens encore plus ridicule, nue face à la classe de garçons qui ne se gênent pas pour se moquer de moi. « Les mains sur la tête ! »

Je sursaute et obéis aussitôt. « Faites le tour de la classe en passant dans tous les rangs, avant votre fessée ! » Rouge de honte, Je descends de l'estrade, et marche en silence dans les rangs, sans lever les yeux. Les garçons ne loupe pas une seconde du spectacle que je leur offre bien malgré moi. . Je suis au fond de la classe quand le directeur m'appelle : « Maintenant, revenez sur l'estrade pour la fessée ! » Je traverse la classe doucement, une larme perle sur mes joues avant de monter sur l'estrade.

Je pose mes mains à plat sur le tableau et cambre mon dos, les fesses ressorties vers l'assistance comme m'ordonne le directeur. Il m' ordonne d'écarter un peu plus ses jambes, soi-disant pour avoir plus de stabilité. Je desserre mes cuisses au minimum, mais c'est déjà trop pour cacher ce que j'ai de plus intime. Personne ne se gêne pour contempler et tout le monde constate que mes jambes me soutiennent à peine, je tremble de tout mon corps en attendant la première claque.

Elle ne tarde pas à arriver, le directeur prend beaucoup d'élan et vient écraser sa main au milieu de mes fesses en y laissant les marques de ses cinq doigts. Je pousse un cri de douleur et m’accroupis tout en portant mes mains à mes fesses. Mr Maxou m’attrape par l'oreille et me relève en me donnant une seconde claque. Puis il fait tomber mes affaires de la chaise, et la met face à la classe pour s’asseoir dessus.

Je le regarde faire en me frottant les fesses, puis Mr Maxou me tire par le bras et me basculer sur ses genoux sans ménagement. Mes mains me sont emprisonnées dans le dos et une véritable fessée arrive sur mon postérieur, sans la moindre protection.

Les garçons se contorsionnent pour mieux voir la scène. Mes fesses rougissent à mesure que mes cris augmentent. Lorsque mes fesses sont uniformément rouges, le directeur s'attaque à mes cuisses. je ne supporte plus, et supplie Mr Maxou d'arrêter. Il ne me prête pas attention et s'arrête juste un instant pour me replacer sur ses genoux.

Puis la fessée reprend de plus belle, pendant encore quelques secondes. Je reprends mes esprits et frottent mes fesses sans penser à me relever. « Levez-vous ! Puisque que vous avez perturbé votre classe, vous allez recevoir une autre fessée dans la salle de Mlle T.. Mais pour le moment, vous êtes très bien ici, je viendrai vous chercher à la fin de cours. Allez vous mettre à genoux, face au tableau, au milieu de l'estrade ! » Sans protester, je me mets à genoux et pose machinalement mes mains sur ma tête. Mr Maxou accroche une pancarte dans le dos « Je suis une élève insolente, je manque de respect, je mérite une fessée au martinet »

La fin du cours dure une éternité pour moi qui pense déjà à ma prochaine fessée devant les filles de ma classe. Je me dis que le plus dur est passé, devant les garçons, mais cela ne me conforte pas complètement. De temps en temps la règle s'abat sur mes fesses quand celles-ci viennent presque se coller à mes talons. Je me relève alors d'un coup pour reprendre ma position, ce qui fait rire les garçons.

Quelques secondes avant la fin du cours, quelqu'un frappe à la porte, mon cœur s’accélère quand je reconnais la voix de Mr Maxou, le directeur. Je me relève pour atténuer la douleur de mes genoux et je demande, d'une voix tremblante si je peux me rhabiller.

« Mais vous n'en avez pas besoin, Mademoiselle, croyez-vous que je vais vous fesser autrement que sur les fesses nues ! Après votre fessée, pour le moment, ils ne vous sont pas utiles ! » Je suis désappointée, honteuse, déconfite, je n'ose plus regarder personne, je baisse les yeux.

« Suivez moi, pour la suite de votre punition ! »

Là je crois que je vais m'évanouir, j'ai envie de pleurer, je supplie Maxou, mais il reste de marbre et me demande de me dépêcher. Je décide de me retourner et choisis de cacher mon sexe avec mes deux mains laissant les yeux de tous les garçons se diriger vers ma poitrine. Avant de descendre de l'estrade le directeur m'arrête : « Vos mains sur votre tête, jusqu'à ce qu'on arrive dans votre classe, autrement, c'est la fessée sur le champs ! » Je refuse, aussitôt le directeur me courbe sous son bras et m'inflige une dizaine de fortes claques sur mes fesses. Je ne peux résister et lorsqu'il me relâche, je mets mes mains mains sur ma tête, et offre la vue de mon sexe presque intégralement épilé aux garçons. Des sifflets se font entendre tandis que le directeur suivi de près par moi quittons la salle rapidement.

Dans le couloir, le directeur me fait passer devant, la cloche retentit, j'espère que personne ne va sortir des classe et me dépêche, je cours presque. Mais c'est trop tard :une porte s'ouvre, un prof fait sortir ses élèves qui ne se gênent pas pour contempler et se moquer de moi en me voyant nue.

Nous arrivons dans la partie de l'établissement réservée aux filles, heureusement personne n'est encore sorti, et la classe de Mlle T est la première, Mr Maxou frappe et me fait entrer . Un ooh, de stupéfaction s'élève de la bouche des filles, Le directeur annonce que j'ai déjà reçu une fessée chez les garçons et que j'en mérite une deuxième ici. Le regard des filles est compatissant envers moi, beaucoup d'entre elles ressentent un frisson leur traverser le corps en s'imaginant nue en train de recevoir la fessée devant les garçons.

Mais elles sont aussi impatientes que celle qui les perturbe depuis un moment soit enfin punie.

Le directeur décide de me fesser sur ses genoux, il m'assoit sur une chaise et me bascule sur ses genoux. Les claques sonores de la fessée résonnent dans la classe, je ne tarde pas à gémir, mes fesses me chauffent dès le début de la fessée, à cause de ma première punition. La fessée ne dure pas longtemps, le directeur me relève et je me frotte les fesses. « Maintenant, venez avec moi dans mon bureau ! »

Mr Maxou me tire par le bras, je quitte la classe sous les quolibets.

Nous traversons le couloir vide, tout le monde est en récréation. Mon cauchemars se termine quand , nous entrons dans le bureau de Mr Maxou, je remarque aussitôt mes vêtements sur le bureau du directeur, et espère pouvoir les remettre rapidement car les grandes fenêtres donnent sur la cours et tous les élèves sont réunis autours pour profiter encore un peu de ma nudité.

« A la fin de la récréation, vous viendrez remettre vos vêtements et vous irez rejoindre votre classe. J'espère ne plus jamais avoir à vous punir comme ça, mais si c'est nécessaire je recommencerai ! »

Dès la fin de la récréation, je me rhabille rapidement, j' attends que la cour soit vide pour sortir et vais dans ma classe.

En entrant dans ma classe, je vais m'asseoir comme un automate à ma place et éclate en sanglots. La prof ne me prête pas attention et continue son cours normalement.