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Les fantasmes de Lio

eleve 3

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18 mai 2018

Melle l'insolente

Nous sommes  lundi.  Professeur Max m’interpelle ; en me lançant un regard noir, il me tend une enveloppe, et  sur un ton sévère, crie :

« Je veux vous voir mercredi à 12h30 tapante, dans mon bureau ». 

Sans le remercier je retourne en cours. Je n’ouvre même pas  l’enveloppe, je la range dans mon sac.

Le jour de la convocation, je prends soin d’ouvrir l’enveloppe et je découvre ce qui est écrit :

« Mademoiselle l’Insolente

Compte-tenu de l’usage répété d’un sobriquet non homologué, malgré nos multiples avertissements, vous êtes passible d’un châtiment corporel exemplaire.

Vous êtes donc convoquée à un entretien préalable à l’issue duquel vous serez fouettée.

Vous voudrez bien vous présenter mercredi 16 mai à 12h 30 claquantes dans mon bureau. Le port de sous-vêtement est rigoureusement interdit. Ceux-ci devront être rangés dans votre sac et présentés au contrôle.

Nous vous prions d’agréer, Mademoiselle l’Insolente, l’expression de nos regrets les plus sincères d’avoir à agir de la sorte dans votre intérêt. »

Je relis la convocation plusieurs fois, c’est la première fois que Professeur Max, m’ordonne de ne pas mettre de sous-vêtements. Quel  salopard ! Pensai-je.

Le matin, je n’ai pas la tête au cours. J’essaye de trouver une stratégie pour y échapper à la punition mais je n’en trouve pas. La cloche sonne la fin des cours. Je traîne  pour ranger mes affaires. Alors que les autres élèves se dirigeaient vers la cantine, je me dirige dans les toilettes et enlève ma culotte.  J’avais pris soin le matin de ne pas mettre de soutien-gorge.

12h25 je me dirige vers le bureau du Professeur Max. J’attends…  l’attente me paraît longue. Furtivement, je regarde ma montre, 12h33, je suis encore là à attendre le Professeur Max…. Pppfffttt ! J’espère avoir une réduction de peine de sa part , car il est en retard.

Soudain la porte s’ouvre

«Entre Lio. Tu sais pourquoi tu es convoquée ?

Je le regarde,  j’hésite à répondre.

« C’est quoi ce sobriquet que tu m’affubles !

- Mais il est mignon ce surnom ! »

Professeur Max m’envoie au coin. Puis il vérifie si j’ai suivi les consignes.

« Bien Lio  tu as obéis. »

Il me prend par le bras et m’allongea sur ses genoux.  Il me fesse, tout en me sermonnant.  Puis lorsque mes fesses sont bien colorées, il s’arrête et me dis

 « Tu n’as rien à me dire ? »  Sa question me surprend  et je lui réponds :

 « heu non ! Je n’ai rien à dire, mais que voulez vous que je vous dise ?

- Que tu regrettes ! Que  tu n’emploieras plus ce surnom ! »

Je n’entends pas la réponse. Professeur Max continue à me fesser. Je gesticule, je le supplie  d’arrêter , je crie :

« Pardon ! Pardon je ne le dirai plus !!! »

Il arrête de me fesser. Je me relève. Quelques minutes plus tard, Il commence à me déshabiller,  je redoutais ce moment là. J’essaye de cacher mon intimité, mais il hausse la voix :

« Mains sur la tête ! »

Je m’exécute. Il m’attache les mains. Je ne peux plus bouger.

 « Bon appétit Lio » me dit-il. Et il part, me laissant seule  dans son bureau… attachée… nue…

C’est fou ce que le calme permet d’entendre, toutes sortes de bruits : les pas dans les couloirs, les mots des personnes, les coups dans les portes. Chaque bruit me fait tourner la tête, de peur qu’une personne entre dans le bureau. Qu’aurait-elle pensé en me voyant ainsi ? J’essaie en vain de me détacher.  Petit à petit,  le silence s’installe, les cours ont repris…. Je suis toujours dans le bureau… Seule, nue et attachée….

Lorsque le professeur entre dans son bureau, il  me regarde, et me dit 

«  Bien, je vais commencer la punition, d’une part pour le sobriquet et d’autre part pour tes insolences à répétition ! »

Je ne la ramène pas. Soigneusement, Professeur Max prépare ses instruments. Il commence par le martinet ( la Caressante de son nom) : les lanières  me brûlent les fesses, je crie « Aie ! » à chaque coups, mais il reste insensible à mes jérémiades.

Il continue  avec Ti’copain (le paddle)…  là les coups sont plus cinglants, je bouge dans tous les sens. Il est obligé de me maintenir, je serre les dents, pour ne pas pleurer.

Il continue, il me présente Bouclettes, un martinet dont les lanières forment une boucle. Ce sont des  « Aiiiiiiiiiie et de ouiiiiiiiiiillle » qui sortent de ma bouche à chaque coup.

Lorsque les coups cessent, mes fesses me brûlent, je les frotte avec ma main. Mais Professeur Max veille :

 «  Enlève ta main ! »     

 Pppfffttt !

Je suis restée nue au coin toute l’après- midi ! 

 

 

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Commentaires
S
froid,non mais faim oui
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P
J'espère que tu n'as pas eu trop froid ....
Répondre
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